Quelques axes pour tendre vers la sobriété numérique


26/02/2024
Chapô

De plus en plus d’organismes de formations tentent d’articuler leur action avec lutte contre le réchauffement climatique. Modalités pédagogiques, transports, stockage des données… En l’espèce, plusieurs questions sont à traiter.

Image de deux personnes devant des outils numériques
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Particulièrement impacté par le déploiement des nouvelles technologies, le secteur de la formation joue un rôle de plus en plus engagé en termes de lutte contre le réchauffement climatique. Dans notre récent dossier consacré au défi du numérique responsable, nous évoquions quelques-unes des démarches éco-responsables dont nous avons connaissance en Normandie, en lien avec l’acquisition de matériels reconditionnés.

 

Il existe bien d’autres champs sur lesquels les organismes de formation peuvent agir, ainsi que le rappelle le site EdTech Actu. Parmi les cinq pistes plus particulièrement privilégiées, évoquons les suivantes :

  • Se poser les bonnes questions : doit-on privilégier le « distantiel », le présentiel ou mix entre les deux options ? Quels moyens de transport seront mobilisés pour la formation ? 
  • Eviter les formats gourmands en énergie, étant entendu que l’empreinte carbone numérique représente actuellement 4% des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le monde.
  • Définir un temps optimal pour le stockage des données, sachant que celui-ci est également très énergivore.

Bonne nouvelle : il sera bientôt possible de recourir à des simulateurs en capacité de mesurer l’impact environnemental d’une formation. Déployé par la société Very Up, il viendra compléter avantageusement des simulateurs généralistes de l’Ademe (notamment ceux centrés sur les transports et sur l’empreinte environnementale numérique).

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